Les plus belles marques lunettes made in Danemark

La plus prestigieuse : Lindberg

S’il y a bien une griffe qui représente à la perfection le design danois, c’est Lindberg, fruit de l’association entre l’opticien Poul-Jørn Lindberg et son fils Henrik Lindberg, architecte de formation. Pour eux, pas de place pour les fioritures, on se concentre sur l’essentiel avec des paires à l’esthétisme épuré, unique et noble. Ils sont d’ailleurs spécialisés dans les lunettes percées.
Chaque modèle est fabriqué à la main selon les envies et les besoins du client. Un système de personnalisation qui a tapé (littéralement) dans l’œil de célébrités comme Kit Harington, Selena Gomez ou Kourtney Kardashian mais qui a aussi suscité l’attention d’un des plus grands groupes de luxe : Kering. En effet, depuis cette année la marque scandinave fait partie du portefeuille du groupe français avec entre autres Gucci, Balenciaga et Saint-Laurent. Une nouvelle qui confirme sa réputation de lunetier d’exception.

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Stylisme Danois, qualité japonaise : Ørgreen Optics

La marque née et basée à Copenhague, la capitale du royaume, se démarque par son approche holistique de la lunette. Épaulée par son équipe de choc composée de fabricants et de conseillers, elle contrôle tout le parcours de la monture, de sa création à sa vente. Le but : garantir une expérience optimale aux acheteurs et leur permettre de bien connaître la paire qu’ils désirent acquérir. Ce processus repose sur un principe essentiel, la qualité du produit et pour cela, la griffe a misé sur une valeur sûre : le Japon. Depuis des années, le pays du Soleil levant brille grâce à l’excellence de ses techniques de fabrication qui mêlent savoir-faire ancestral, art du détail et amour du produit. Résultat ? Des montures aux courbes intemporelles rehaussées de teintes inédites spécialement pensées par les coloristes de la maison Ørgreen.

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« The Hungry Generation » : Messyweekend

La marque incarne ce vent frais venu du nord. Elle propose une gamme jeune, tendance et novatrice à des prix abordables afin de rendre la qualité danoise accessible au plus grand nombre. Il est donc possible de s’offrir une paire à la pointe de la mode pour moins de 100 euros. Conçu et pensé comme un label, Messyweekend ne se met aucune barrière et étend son activité au domaine de la musique mais aussi du sport en proposant une ligne dédiée au ski et en sponsorisant une compétition de skateboard. On les retrouve aussi sur le terrain où ils s’engagent auprès de deux organisations qui collectent les déchets présents sur les plages et dans les fonds marins. Moderne, audacieuse, la nouvelle génération made in Denmark est aussi engagée.

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La créativité durable : Carlotta’s Village

Bo et Charlotte Leth forment un couple inventif et ambitieux dont l’objectif est de proposer des montures innovantes mais respectueuses de la tradition scandinave. Actif dans le secteur de la lunette depuis des années, lui en tant qu’agent pour une marque internationale et elle en tant que designer, le duo n’arrivait pas à trouver LA paire qui ferait vaciller leurs deux cœurs. C’est donc en unissant leurs connaissances et compétences qu’ils ont décidé de créer leur propre marque. Cette dernière repose sur plusieurs principes, l’esthétique (encore et toujours), une palette de couleurs très pointue, de la recherche et un mode de production pérenne. Depuis l’existence de Carlotta’s Village, le binôme a mis au point la première paire de lunettes en titane imprimée en 3D et s’est concentré sur l’utilisation de deux autres matériaux biodégradables ou recyclables : l’acétate mais aussi l’acier chirurgical. Le but ? Garantir la création de montures unisexes faites pour traverser les époques avec style et dans le respect de l’environnement.

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Mais aussi :

Prodesign pour ses pièces fortes, fonctionnelles, originales et fidèles aux grands principes de l’artisanat local. Bellinger, pour ses combinaisons de teintes chatoyantes qui viennent illuminer la météo bien sombre du nord du continent. Christopher Cloos, une ligne accessible de lunettes, qui combine chic à la française et sophistication danoise. Enfin, Kliik pour sa grande diversité de références dédiées aux petits visages.

Écrit par Charlotte Médot